2007 05 06 Le Malpassant

 Le lien sur le récit sur Kikourou:

 Récit Le Malpassant 2007

 
Dimanche matin, levée, on s’étire un maximum…

Et c’est parti direction Voglans pour le Malpassant (le petit parcours du Nivollet Revard).

Arrivée impec, je me gare, récupère dossard et débardeur et retourne m’équiper à la voiture. Rencontre avec Jean Luc (on a joué dans la même équipe de volley il y a  4, 5 ans), on regarde passer le départ du « grand ».
Finition de l’équipement, puis quelques foulés pour s’échauffer avant de rejoindre le départ.

8H30 c’est parti… Et c’est parti pour une nouvelle saison qui doit me ramener à Chamonix fin août…

J’essai de partir un peu plus rapidement que d’habitude (j’ai l’ »habitude » de partir trop frileusement je trouve), tout va bien, la première partie se passe bien même si je trouve que j’ai déjà pris des tours (mais en fait ça va passer comme ça).

Je me fais connaître d’un gars que je reconnais parce qu’on est arrivé dans le même temps à l’UTMB   (et il apparaît sur les photos qui défilent sur mon fond d’écran !!!). On échange quelques phrases puis il va me lâcher inexorablement (il arrivera 7 min avant moi).

Puis on arrive au plat de résistance : c’est parti pour de la dénivelés, mais sur un chemin agréable, quelques relances mais finalement je suis presque aussi efficace en marchant. Je mange un gel dans la montée. Un coup de moins bien en arrivant sur la partie avec des câbles, mais ça ne dure pas et on arrive au sommet. 2 féminines me passent à ce moment là, j’essaie de les accrocher de loin (et pas longtemps), passage au ravito, je ne m’y arrête pas (j’ai pris un camelback, donc je bois tout le long) et c’est parti pour la descente.

J’essaie d’en profiter pour me pousser un peu dans la descente. Ca se passe plutôt bien, tout est toujours OK. Dans les derniers lacets, un gars me rejoint, on reste un moment ensemble avant qu’il ne me lâche dès que le terrain devient plus plat.

P….n, j’ai l’impression de pas avancer sur le plat, c’est dur et ça ne m’amuse guère mais j’arrive quand même à tenir.

Passage éclair au ravito (ou je rejoins mon gars de la descente qui va me relâcher tout de suite derrière), un coca, la promesse faite à une bénévole de revenir l’année prochaine pour voir le paysage au sommet (aujourd’hui complètement dans le brouillard) et c’est reparti pour le dernier tronçon.

J’arrive à revenir sur des gars devant, puis sur le dernier petit « raidard » avant l’arrivée un gars nous encourage et nous pousse bien (Merci mon gars), j’arrive à passer la bosse en marchant d’un bon pas et à bien relancer derrière. Sur le dernier kilomètre j’arrive encore à reprendre 2 gars avant de voir la ligne et me sentir à la limite des crampes dans les mollets…

Ouf la ligne est franchie : 2H14. Bien content.

Et hop je m’enquille coca sur coca. ; Ca fait du bien et ça recharge !!!

Conclusion : bien content pour ma première course de la saison : du plaisir, du mal physique (c’est pas encore le top, il reste encore à progresser), des bonnes sensations… bref encore un bon moment !

Prochaine étape : le trail de Faverges